LE QUÉBÉCOIS

Cela en est rendu ridicule la façon de  penser de bien des gens aujourd’hui. Des qu’il y a élection pour changer un gouvernement ou annonce d’une nouvelle tête dirigeante dans une de nos grosses sociétés d’État, nous en somme rendu à dire qu’il ne pourra pas être pire que l’autre avant lui!

Mais qu’est ce que cette mentalité que nous avons adopté dans ces dernières années de chercher le moins pire ou le moins si ou moins ça. Pourquoi ne pas choisir juste le bon candidat et non celui par défaut?

Nous venons d’élire un gouvernement qui avance et recule aussi vite qu’il peut, il devait remplacer un gouvernement corrompu jusqu'à l’os et tout dernièrement nous apprenons que le nouveau ne lave peut-être pas aussi blanc que prévu.

Quand nous avons remplacé Paul-Henri Rousseau a CDPQ pour Michael Sabia, parce ce que le premier avait fait fondre les actifs de la caisse de 40 milliards. Le nouveau ainsi que le gouvernement pour démontrer qu’il faisait attention a l’argent du peuple suspendit les primes aux rendements des dirigeants, voila que la semaine dernière nous apprenions qu’ils venaient de recevoir un substantiel montant ainsi que les autres dirigeants des sociétés d’État.

Et ici je n’ose même pas aborder le milieu municipal, car mon propos serait trop long!

Je crois fermement que nous en somme rendus à prendre la décision d’arrêter de chialer après un et l’autre, parlons et formons des mouvements de pression populaire, mettons toutes nos connaisses au profit de notre communauté, après tout ont peux pas faire pire !

Serge Larochelle, auteur

Maintenant, ma vie prend racine

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